Sorties aquatiques pour l’EDSC65

Pour cette sortie, le rendez-vous est donné à Oloron-Ste-Marie, à 8h30 du matin.

5h du matin, mon réveil sonne donc à l’aube pour quitter la vallée d’Aure en direction de Tarbes où je rejoins Hugo pour co-voiturer. Je ne vous cache pas que je suis bien contente quand je le retrouve et que c’est lui qui prend le volant car je piquais un peu du nez en conduisant de si bonne heure… J’arrive à notre rendez-vous avec une demi-heure de retard (malgré un semblant d’organisation de ma part… mais insuffisant… promis Hugo, je ferai mieux la prochaine fois !). Il est donc 7h30 quand on part de Tarbes pour Oloron. Heureusement, Hugo avait prévu large niveau timing et, qui plus est, il a utilise ses talents de pilote chevronné pour faire vrombir sa petite Twingo et rattraper un peu notre retard… Certes, je n’en menais pas large mais ça nous a valu d’arriver à Oloron presque à l’heure… (8 minutes de retard à peine), on pourrait même dire à l’heure car nous n’étions pas les derniers… Je ne citerai pas de noms… lol

D’Oloron-Ste-Marie, on part avec deux voitures pour environ 1h de trajet supplémentaire jusqu’à nos fameuses cavités du jour… Nous prenons Caroline et Lana avec nous et Gaëlle et Enora montent avec Jonathan et Léa.

Plus on s’enfonce dans ces contrées lointaines du pays basque, plus le spectacle matinal du levé du soleil nous subjugue…

On passe devant des panneaux aux noms obscurs et l’un d’entre eux pointe en direction de “Mendive”, quel nom étrange à mi-chemin entre ‘endive’ et ‘manger’ ! ‘mendive’… ceci m’évoque mon pique-nique du midi (des endives), sûr moyen mnémotechnique pour se rappeler de cet étrange nom…

Nous passons ensuite par un chemin forestier longeant une jolie vallée éclairée par les rayons de soleil matinaux et nous arrivons sur le parking menant aux cavités du jour.

Jonathan nous explique le programme, nous distribue le matériel et nous partons pour notre première expédition souterraine. Il s’agit de la traversée de La petite Bidouze. C’est une grotte d’initiation qui mêle spéléo et canyonisme. Et en plus, il s’agit d’une traversée (une grotte qui possède deux entrées) !

Pour atteindre l’entrée, on continue de suivre le chemin forestier puis, au niveau du petit bout de bois balisé, on se dirige vers le sentier sur la droite à travers la forêt et on atteint rapidement l’orifice d’entrée.

Avant de commencer, Jonathan explique aux débutants (comme moi) l’utilisation du descendeur et donne des explications plus détaillées à Hugo et Caroline sur les manipulations de corde (désolée, je n’ai pas retenu les noms : une manip de blocage avec un 8 et une manip débrayable avec le demi-cabestan je crois… oui, j’ai beaucoup à apprendre mais ça a l’air intéressant tout ça…).

Il y a un deuxième groupe qui passe devant nous pendant que Jonathan papote comme une pipelette avec une personne d’un autre club je pense… Et oui, lui qui disait que les filles étaient les plus bavardes, je n’en suis pas si sûre… Pendant ce temps, on en a profité pour bien répéter nos manipulations bien entendu, nous sommes des élèves sérieux…

Une fois le 1er groupe parti, nous voici donc en route… Il est environ 12h quand on pénètre dans la grotte par son entrée supérieure, qui correspond à une perte d’un ruisseau de surface. Jonathan nous précise bien que c’est pour cela qu’il ne faut pas y aller quand il pleut bien sûr…

La progression est assez aisée, elle se déroule principalement dans le ruisseau souterrain qui chemine entre de belles parois. Nous faisons plusieurs descentes en rappel (18m maximum) le long des cascades qui ponctuent le parcours.

On passe devant des panneaux aux noms obscurs et l’un d’entre eux pointe en direction de “Mendive”, quel nom étrange à mi-chemin entre ‘endive’ et ‘manger’ ! ‘mendive’… ceci m’évoque mon pique-nique du midi (des endives), sûr moyen mnémotechnique pour se rappeler de cet étrange nom…

Nous passons ensuite par un chemin forestier longeant une jolie vallée éclairée par les rayons de soleil matinaux et nous arrivons sur le parking menant aux cavités du jour.

Jonathan nous explique le programme, nous distribue le matériel et nous partons pour notre première expédition souterraine. Il s’agit de la traversée de La petite Bidouze. C’est une grotte d’initiation qui mêle spéléo et canyonisme. Et en plus, il s’agit d’une traversée (une grotte qui possède deux entrées) !

Pour atteindre l’entrée, on continue de suivre le chemin forestier puis, au niveau du petit bout de bois balisé, on se dirige vers le sentier sur la droite à travers la forêt et on atteint rapidement l’orifice d’entrée.

Avant de commencer, Jonathan explique aux débutants (comme moi) l’utilisation du descendeur et donne des explications plus détaillées à Hugo et Caroline sur les manipulations de corde (désolée, je n’ai pas retenu les noms : une manip de blocage avec un 8 et une manip débrayable avec le demi-cabestan je crois… oui, j’ai beaucoup à apprendre mais ça a l’air intéressant tout ça…).

Il y a un deuxième groupe qui passe devant nous pendant que Jonathan papote comme une pipelette avec une personne d’un autre club je pense… Et oui, lui qui disait que les filles étaient les plus bavardes, je n’en suis pas si sûre… Pendant ce temps, on en a profité pour bien répéter nos manipulations bien entendu, nous sommes des élèves sérieux…

Une fois le 1er groupe parti, nous voici donc en route… Il est environ 12h quand on pénètre dans la grotte par son entrée supérieure, qui correspond à une perte d’un ruisseau de surface. Jonathan nous précise bien que c’est pour cela qu’il ne faut pas y aller quand il pleut bien sûr…

La progression est assez aisée, elle se déroule principalement dans le ruisseau souterrain qui chemine entre de belles parois. Nous faisons plusieurs descentes en rappel (18m maximum) le long des cascades qui ponctuent le parcours.

On passe devant des panneaux aux noms obscurs et l’un d’entre eux pointe en direction de “Mendive”, quel nom étrange à mi-chemin entre ‘endive’ et ‘manger’ ! ‘mendive’… ceci m’évoque mon pique-nique du midi (des endives), sûr moyen mnémotechnique pour se rappeler de cet étrange nom…

Nous passons ensuite par un chemin forestier longeant une jolie vallée éclairée par les rayons de soleil matinaux et nous arrivons sur le parking menant aux cavités du jour.

Jonathan nous explique le programme, nous distribue le matériel et nous partons pour notre première expédition souterraine. Il s’agit de la traversée de La petite Bidouze. C’est une grotte d’initiation qui mêle spéléo et canyonisme. Et en plus, il s’agit d’une traversée (une grotte qui possède deux entrées) !

Pour atteindre l’entrée, on continue de suivre le chemin forestier puis, au niveau du petit bout de bois balisé, on se dirige vers le sentier sur la droite à travers la forêt et on atteint rapidement l’orifice d’entrée.

Avant de commencer, Jonathan explique aux débutants (comme moi) l’utilisation du descendeur et donne des explications plus détaillées à Hugo et Caroline sur les manipulations de corde (désolée, je n’ai pas retenu les noms : une manip de blocage avec un 8 et une manip débrayable avec le demi-cabestan je crois… oui, j’ai beaucoup à apprendre mais ça a l’air intéressant tout ça…).

Il y a un deuxième groupe qui passe devant nous pendant que Jonathan papote comme une pipelette avec une personne d’un autre club je pense… Et oui, lui qui disait que les filles étaient les plus bavardes, je n’en suis pas si sûre… Pendant ce temps, on en a profité pour bien répéter nos manipulations bien entendu, nous sommes des élèves sérieux…

Une fois le 1er groupe parti, nous voici donc en route… Il est environ 12h quand on pénètre dans la grotte par son entrée supérieure, qui correspond à une perte d’un ruisseau de surface. Jonathan nous précise bien que c’est pour cela qu’il ne faut pas y aller quand il pleut bien sûr…

La progression est assez aisée, elle se déroule principalement dans le ruisseau souterrain qui chemine entre de belles parois. Nous faisons plusieurs descentes en rappel (18m maximum) le long des cascades qui ponctuent le parcours.

On passe devant des panneaux aux noms obscurs et l’un d’entre eux pointe en direction de “Mendive”, quel nom étrange à mi-chemin entre ‘endive’ et ‘manger’ ! ‘mendive’… ceci m’évoque mon pique-nique du midi (des endives), sûr moyen mnémotechnique pour se rappeler de cet étrange nom…

Nous passons ensuite par un chemin forestier longeant une jolie vallée éclairée par les rayons de soleil matinaux et nous arrivons sur le parking menant aux cavités du jour.

Jonathan nous explique le programme, nous distribue le matériel et nous partons pour notre première expédition souterraine. Il s’agit de la traversée de La petite Bidouze. C’est une grotte d’initiation qui mêle spéléo et canyonisme. Et en plus, il s’agit d’une traversée (une grotte qui possède deux entrées) !

Pour atteindre l’entrée, on continue de suivre le chemin forestier puis, au niveau du petit bout de bois balisé, on se dirige vers le sentier sur la droite à travers la forêt et on atteint rapidement l’orifice d’entrée.

Avant de commencer, Jonathan explique aux débutants (comme moi) l’utilisation du descendeur et donne des explications plus détaillées à Hugo et Caroline sur les manipulations de corde (désolée, je n’ai pas retenu les noms : une manip de blocage avec un 8 et une manip débrayable avec le demi-cabestan je crois… oui, j’ai beaucoup à apprendre mais ça a l’air intéressant tout ça…).

Il y a un deuxième groupe qui passe devant nous pendant que Jonathan papote comme une pipelette avec une personne d’un autre club je pense… Et oui, lui qui disait que les filles étaient les plus bavardes, je n’en suis pas si sûre… Pendant ce temps, on en a profité pour bien répéter nos manipulations bien entendu, nous sommes des élèves sérieux…

Une fois le 1er groupe parti, nous voici donc en route… Il est environ 12h quand on pénètre dans la grotte par son entrée supérieure, qui correspond à une perte d’un ruisseau de surface. Jonathan nous précise bien que c’est pour cela qu’il ne faut pas y aller quand il pleut bien sûr…

La progression est assez aisée, elle se déroule principalement dans le ruisseau souterrain qui chemine entre de belles parois. Nous faisons plusieurs descentes en rappel (18m maximum) le long des cascades qui ponctuent le parcours.

On passe devant des panneaux aux noms obscurs et l’un d’entre eux pointe en direction de “Mendive”, quel nom étrange à mi-chemin entre ‘endive’ et ‘manger’ ! ‘mendive’… ceci m’évoque mon pique-nique du midi (des endives), sûr moyen mnémotechnique pour se rappeler de cet étrange nom…

Nous passons ensuite par un chemin forestier longeant une jolie vallée éclairée par les rayons de soleil matinaux et nous arrivons sur le parking menant aux cavités du jour.

Jonathan nous explique le programme, nous distribue le matériel et nous partons pour notre première expédition souterraine. Il s’agit de la traversée de La petite Bidouze. C’est une grotte d’initiation qui mêle spéléo et canyonisme. Et en plus, il s’agit d’une traversée (une grotte qui possède deux entrées) !

Pour atteindre l’entrée, on continue de suivre le chemin forestier puis, au niveau du petit bout de bois balisé, on se dirige vers le sentier sur la droite à travers la forêt et on atteint rapidement l’orifice d’entrée.

Avant de commencer, Jonathan explique aux débutants (comme moi) l’utilisation du descendeur et donne des explications plus détaillées à Hugo et Caroline sur les manipulations de corde (désolée, je n’ai pas retenu les noms : une manip de blocage avec un 8 et une manip débrayable avec le demi-cabestan je crois… oui, j’ai beaucoup à apprendre mais ça a l’air intéressant tout ça…).

Il y a un deuxième groupe qui passe devant nous pendant que Jonathan papote comme une pipelette avec une personne d’un autre club je pense… Et oui, lui qui disait que les filles étaient les plus bavardes, je n’en suis pas si sûre… Pendant ce temps, on en a profité pour bien répéter nos manipulations bien entendu, nous sommes des élèves sérieux…

Une fois le 1er groupe parti, nous voici donc en route… Il est environ 12h quand on pénètre dans la grotte par son entrée supérieure, qui correspond à une perte d’un ruisseau de surface. Jonathan nous précise bien que c’est pour cela qu’il ne faut pas y aller quand il pleut bien sûr…

La progression est assez aisée, elle se déroule principalement dans le ruisseau souterrain qui chemine entre de belles parois. Nous faisons plusieurs descentes en rappel (18m maximum) le long des cascades qui ponctuent le parcours.